Athée-sur-Cher

La mairie et ses services

Maire : Olivier Delaveau

Site internet : https://www.athee-sur-cher.fr/

Jours et horaires d’ouverture : 

Lundi, mercredi et vendredi de 9h à 12h30 et de 15h à 17h30
Mardi et jeudi de 9h à 12h30. Fermé l’après-midi.

Présentation de la commune

Population : 2794

Nom des habitant·e·s : Athégiens, Athégiennes

Site internet concernant l’histoire et célébrités

Site internet concernant le patrimoine

La magnanerie : depuis septembre 2021, dans la tour de la magnanerie, exposition permanente sur l’histoire de la soierie en Touraine et à Athée.

Projet d’association d’histoire locale et de musée
Télécharger le Flyer.

Tourisme

Vie associative

Vie économique

Marché d’Athée-sur-Cher

Contacts

Adresse : 
9, chemin des Dames
37270 Athée-sur-Cher

Téléphone : 
02 47 50 68 09

E-mail : 
accueil@mairieathee.fr























Bléré

La mairie et ses services

Maire : Fabien NEBEL

Site internet : www.blere-touraine.com

Jours et horaires d’ouverture : 

  • Lundi au vendredi : 09h à 17 h 00

Présentation de la commune

Population : 5 322 habitants

Nom des habitant·e·s : Blérois

Histoire
Bléré doit son origine à deux mots « blé » (au sens de beau) et « ré » (modification de ru et gué). Le sens était alors « beau gué ». Il s’expliquait par la situation de Bléré sur la voie de Paris vers l’Espagne et St-Jacques de Compostelle.
Au Xe siècle, la localité s’appelait BLERIUM. Une église y fut fondée par St-Brice en 474. Elle fut rasée par les Normands et reconstruite. Du XIIème siècle, il subsiste une chapelle. Les seigneurs de Bléré en érigèrent d’autres au XVe et XVIe siècle.

Situation
Bléré, 5 322 habitants en 2022, d’une superficie de 3 808 hectares, est un chef -lieu de canton de l’arrondissement de Tours, en Indre-et-Loire, dont dépendent 14 communes.
La Ville fait partie de la Communauté de Communes de Bléré Val de Cher (CCBVC).
Située à l’est du département dans la vallée du Cher, au bord de la rivière, Bléré bénéficie de la douceur du climat et du cadre agréable de la Touraine couramment appelée « Jardin de la France ». Proche de la vallée de La Loire au riche passé historique, les nombreux châteaux et belles demeures des alentours s’ajoutent à la richesse du patrimoine local.
De tradition agricole et viticole, dans une région plutôt boisée, vous découvrirez, au gré de vos promenades, des paysages variés et reposants.
Agréablement fleuri, le centre est un lieu propice à la flânerie et au shopping grâce aux nombreux commerces de proximité.

Monuments
• Chapelle Jehan de Seigne
• Le Grand Logis
• Église Saint-Christophe
• Moulin des Aigremonts
• Logis de Boisramé
• La Coursicauderie
• Château de Fontenay
• Château de Fossembault
• Manoir de Beauregard
• Le Belvédère
• Manoir de Boispateau
• Manoir de Crespières
• L’écluse et le barrage à aiguilles

Contacts

Adresse : 
35 rue de Loches
37150 Bléré

Téléphone : 
02 47 30 81 81

E-mail : 
mairie@blere-touraine.com









Céré-la-Ronde

La mairie et ses services

Maire : Christian Ricou

Site internet : cere-la-ronde.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Du lundi au vendredi
De 09h00 à 12h00

Présentation de la commune

Population : 450 habitants

Nom des habitant·e·s : Les Céréens et Céréennes

Notre commune de Céré la Ronde, au cœur de la région des châteaux de la Loire, compte 450 âmes. Avec un patrimoine bâti riche en demeures et châteaux, la municipalité et ses habitants œuvrent de concert pour planter, fleurir et animer le village afin d’y créer un cadre de vie attrayant.
Au delà du plaisir quotidien de vivre dans un petit village dynamique, l’idée est d’attirer visiteurs et nouveaux habitants de plus en plus nombreux au fil des années.
Le développement du village, le maintien des commerces, le maintien des écoles et des services publics se fera grâce à l’effort de tous. Chaque action compte !
Nous cultivons un désir partagé du bien vivre ensemble dont nos anciens nous ont donné l’exemple :
     • Harmonie et convivialité au travers de différentes associations transversales et intergénérationnelles
     • Respect et entraide
     • Lutte contre les incivilités de toutes natures
     • Créativité, dynamisme et éclectivité dans nos initiatives.
     • Respect de la Biodiversité
     • Zéro plastique chez nos commerçants et artisans
     • Récupération de nos déchets verts et ménagers
     • Mode alternatif d’éducation (École Montessori), Bibliothèque pour les petits et les grands
     • Sécurisation et protection de nos habitants (caméras de surveillance et centre de Sapeurs-Pompiers)
     • Services publics de proximité (Agence Postale, commerces, garagiste, atelier de couture, café restaurant, aide à domicile pour personnes dépendantes, exploitation maraîchère Bio et utilisation des circuits courts de distribution etc…)
     • Harmonisation architecturale et florale de notre centre bourg.

Contacts

Adresse : 
5 rue Rabelais,
37460 Céré-la-Ronde

Téléphone : 
02 47 94 23 61

E-mail : 
accueil@cere-la-ronde.fr



















Chenonceaux

La mairie et ses services

Maire : Pierre Poupeau

Site internet : Chenonceaux.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Du lundi au vendredi
De 09h00 à 12h30

Présentation de la commune

Population : 355 habitants

Nom des habitants : Chenoncellois

Chenonceaux est un village touristique, dont le nom est de renommée internationale, grâce à son Château.

Chef d’œuvre de la Renaissance, le Château de Chenonceau surnommé le château des Dames reste le Château du Val de Loire le plus visité de France, après Versailles.

Il est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco, avec la partie du Cher qu’il enjambe, une partie du village et le chemin historique qui relie Chenonceaux à Amboise.

Le village de Chenonceaux s’étend sur une petite superficie de 4,33 km² occupée à 39% par bois et forêt. Bordé au sud par la rivière le Cher et le domaine du Château, il épouse la forme d’une langue de terre et se prolonge sur le coteau dominant la vallée du Cher pour se terminer au nord par une pointe en forêt d’Amboise.

Sa situation géographique privilégiée en fait un lieu de vie très apprécié des Chenoncelloises et Chenoncellois, des visiteurs et des touristes.

A proximité de la métropole de Tours, à deux pas de la ville touristique d’Amboise, et des communes de Bléré et Montrichard.

L’architecture de son territoire garde en de nombreux endroits son aspect des siècles passés.

Au cœur du village de Chenonceaux, le patrimoine culturel s’est enrichi d’un Parc dédié à une fleur à l’opulente beauté, la pivoine.

Pendant un siècle le village fût le centre mondial de la pivoine, dont plus de 130 obtentions sont créées, grâce au travail passionné et remarquable de deux horticulteurs du village Etienne Mechin et Auguste Dessert…

Chenonceaux est un point de rencontres entre histoire, patrimoine et nature. 

Contacts

Adresse :
1 place de la Mairie
37150 Chenonceaux

Téléphone :
02 47 23 90 13

E-mail :
mairie@chenonceaux.fr

















Chisseaux

La mairie et ses services

Maire : Franck Augias

Site internet : www.mairie-chisseaux.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

  • Lundi, Mercredi, jeudi et vendredi : 9h-12h30
  • Mardi : 15h-18h30

Présentation de la commune

Population : 598 habitants

Nom des habitant·e·s : Chisseaussois

Le charme de Chisseaux, c’est se promener sur la rive droite du cher, où l’on peut flâner en longeant l’écluse, le barrage à aiguilles en bois et la maison éclusière.

Chisseaux est l’un des plus grands bourgs de Touraine connu déjà sous Grégoire de Tours. Sa plus ancienne activité connue fut celle d’un atelier monétaire.

Diane de Poitiers acquît le fief en 1555 et l’incorpora à sa châtellenie de Chenonceau.

L’église date du Xème siècle, le chœur et le clocher sont du XIIème siècle. Il faut remarquer sur la paroi nord un fragment de fresque du XIIIème siècle représentant la Cene, dont subsiste seulement l’image du Christ et des cinq apôtres assis à sa droite.

Existe également un joli château Renaissance, bien restauré et le Moulin Fort, ancien moulin situé dans une île du Cher, sur les piles duquel fut bâti au début du siècle dernier un très beau manoir.

Tourisme : 

Tourisme développé autour des bord du Cher : Camping municipal, promenades et restauration en bateaux sur le Cher (la Bélandre) et locations de canoës-kayak, bateaux éléctriques.

Contacts

Adresse : 
2 rue Nationale
37 150 Chisseaux

Téléphone : 
02 47 23 90 75

E-mail : 
mairie.de.chisseaux@wanadoo.fr













Cigogné

La mairie et ses services

Maire : Jean-Jacques DE SMET

Site internet : www.communedecigogne.fr/

Jours et horaires d’ouverture : 

  • Lundi et Mardi : 8h30-12h30 et 13h30-17h30
  • Jeudi et vendredi : 8h30-12h30 et 13h30-17
  • Mercredi : 8h30-12h30

Présentation de la commune

Population : 466 habitants

Nom des habitants : Cocognassiens

Cigogné (prononcé [si.gɔ.ˈɲe]) est une commune française du département d’Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire et dans la région historique de Touraine.
Le plateau qui compose la presque totalité de son territoire communal est inscrit dans la petite région fertile de la Champeigne tourangelle ; ce n’est donc pas par hasard que dès l’âge du bronze, des peuplements, certainement agriculteurs, se sont installés sur ce plateau. L’évêque de Tours Théotolon est un personnage clé dans l’histoire de Cigogné : c’est lui qui fonde la paroisse vers le milieu du xe siècle pour assurer des revenus fonciers à une abbaye de sa ville, qu’il voulait restaurer. C’est surtout au Moyen Âge que l’histoire de Cigogné est la plus documentée, le fief de Cigogné étant alors une possession des comtes d’Anjou au cœur d’une Touraine qu’ils disputent aux comtes de Blois.

La commune de Cigogné se trouve dans le quadrant sud-est du département d’Indre-et-Loire, dans la région historique de Touraine. À vol d’oiseau, Cigogné se situe à 23,8 km au sud-est de Tours1, préfecture du département d’Indre-et-Loire, à 8,7 km au sud-ouest de Bléré2, chef-lieu du canton auquel la commune est rattachée.

En 2014, Cigogné, avec ses 433 habitants, reste une commune rurale : l’agriculture, à forte dominante céréalière, garde une place non négligeable dans son économie, même si le nombre des exploitations a diminué. Le territoire de Cigogné ne représente pas un bassin d’emploi important et si la commune, après avoir connu l’exode rural comme beaucoup d’autres, se repeuple depuis le début des années 1980, c’est surtout pour accueillir de nouveaux habitants qui travaillent à l’extérieur, dans un rayon de 20 à 35 kilomètres mais qui contribuent au rajeunissement de la population.

Cigogné arrive également à concilier la présence, sur son sol, d’un établissement classé Seveso avec l’existence d’un site du réseau Natura 2000 qui occupe la presque totalité de son territoire.

Contacts

Adresse : 
1 Place de la Mairie
37310 Cigogné

Téléphone : 
02.47.57.83.16

E-mail : 
mairie@communedecigogne.fr













Civray-de-Touraine

La mairie et ses services

Maire : Fanny Hermange
Site internet : www.civraydetouraine.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Lundi de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 19h00
Mardi, mercredi et vendredi de 8h30 à 12h00
Jeudi de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00

Présentation de la commune

Population : 1791 habitants
Superficie : 22,88 km²
Nom des habitant·e·s : Civraisiennes, Civraisiens

Civray-de-Touraine est une commune à cheval sur le Cher : seule commune de Touraine à s’étendre largement de part et d’autre du Cher, ce qui lui valut, d’ailleurs, d’être coupée en deux parties par la ligne de démarcation entre l’armistice de 1940 et novembre 1942 : l’une en zone occupée (nord), l’autre en zone non occupée (sud). Le terroir présente ainsi une grande variété : de la forêt d’Amboise en passant par les coteaux couverts de vignes, la Varenne humide en fond de vallée et au sud l’amorce du plateau de la Champeigne tourangelle.

Le 23 décembre 1954, Civray sur Cher est devenu Civray de Touraine.

Lieux et monuments

  • Eglise St Germain XIII siècle
  • Donjon de Mesvres  XII  – XV  siècle
  • L’ensemble d’éclusage sur le Cher
  • Château de Civray XVIII siècle
  • Nombreux puits et lavoirs et de loges de vignes
 

Contacts

Adresse :
1 rue des écoles
37150 Civray-de-Touraine

Téléphone :
02 47 23 62 80

E-mail :
mairie.civraydetouraine@orange.fr

























Courçay

La mairie et ses services

Maire : Anne Bayon de Noyer

Site internet : www.courcay.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Mardi de 13h30 à 18h30
Mercredi de 9h à 12h
Jeudi de 13h30 à 18h30
Vendredi de 9h à 12h

Présentation de la commune

Population : 824 habitants

Nom des habitant·e·s : Courciquois, Courciquoise

Courçay est un village à dominante rurale, où l’activité agricole reste donc très présente et importante ainsi que l’activité artisanale.
Traversée en son milieu par la rivière de l’Indre, la commune est étendue au nord comme au sud de celleci sur 2477 ha, avec une vingtaine de hameaux.

Courçay à l’Epoque gallo-romaine

Courçay est repérable dès l’époque gallo-romaine, vers le IIIème siècle. Le nom « Courçay » lui-même est typiquement de forme gallo-romaine, avec son suffixe latin –ius, il vient directement du nom de son fondateur, le moine Curtius. Courçay s’est successivement appelé Curtiacus (774), Corceium (XIIème siècle), Courçayum (1267), Courfay (au XVIIIème siècle).

Courçay au Moyen-Âge

Au Vème siècle, les Germains passent le Rhin, les Wisigoths et les Alains atteignent la Touraine détruisent nombre de villas romaines, dont celles du Grand Geay, mais sans laisser de trace durable ; à Courçay, un seul nom est d’origine franque : Chemallé, du franc « Camalher ». La première église de Courçay, entre le VIème et le VIIIème siècle, est couverte de paille ou de joncs. Le cimetière est installé à distance de l’église et du village, suivant l’usage romain. Le village vit de cultures très variées, d’élevage, des produits des bois, de gibier.

La construction de l’église de Courçay que nous voyons aujourd’hui est entreprise au XIème siècle et achevée au XIIème siècle, à l’apogée de l’art roman.

Contacts

Adresse : 
6 rue du Commerce
37310 Courcay

Téléphone : 
02 47 94 16 06

E-mail : 
mairiedecourcay@wanadoo.fr



















Dierre

La mairie et ses services

Maire : Max Besnard

Site internet : www.dierre37.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Du mardi au vendredi de 13h30 à 17h45

Présentation de la commune

Population : 638 habitants

Nom des habitant·e·s : Dierrois, Dierroises

Histoire et situation géographique

La commune s’étend sur 10,3 km² et compte 610 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densité de 56,7 habitants par km², Dierre a connu une nette hausse de 17,3% de sa population par rapport à 1999.

Situé à 230 km de paris, 18 km de Tours, 5 km de Chenonceaux et 11 km d’Amboise, il est aussi accessible par l’A85, sortie Bléré.

Dierre est à 5 min de la gare de Bléré La Croix desservie par St Pierre des Corps (Le TGV rejoint Paris en 55mn)

Situé à 59 mètres d’altitude, la rivière « Le Cher » est le principal cours d’eau qui traverse la commune de Dierre.

II semble que les premiers habitants se fixèrent au nord du bourg actuel, le manoir de la Secréterie étant son centre administratif les anciens fiefs du Fourneau et de Boisbonnard nous le rappellent. Ce dernier hameau, jadis cerné d’un bois, doit son nom à une lignée de propriétaires appelés Bonnard.

A l’époque mérovingienne il y aurait eu un atelier de monnaies frappées. Daria Vicus, premier nom de Dierre, qui devint par la suite Dédera, Deera, Dierra, Dière, Dierres au siècle dernier.

Au XIII’ siècle nos vignerons découvraient la qualité du vin blanc que leur procurait le coteau. Cette culture se développera jusqu’au XIX’ siècle, et la plus grande partie de la récolte était dirigée du port de Saint-Martin-le-Beau où des péniches destinées à cet effet s’y amarraient. L’apparition du phylloxéra, en 1890, détruisit tout le vignoble. Importés d’Amérique, des plans sauvages, résistant à cette terrible maladie, permirent le renouvellement au moyen de greffes.

Patrimoine

L’église et le prieuré
Appelé successivement DARIA VICUS, du nom d’une peuplade d’origine perse, puis DARRAE, DERDERA, puis DERRA, au 7ème siècle, le nom de DIERRE est définitivement adopté.

L’église est sous le vocable de Saint Médard, patron des bouchers, car les travaux d’agrandissement furent facilités grâce à l’argent des bouchers d’Amboise qui, au Moyen Age avaient en échange la possibilité de faire paître leurs bovins dans les prairies bordant le Cher. Construite au XIème siècle, l’église appartenait primitivement au chapitre d’Orléans qui la céda à l’Abbaye Bénédictine de Saint Julien de Tours, sous l’abbé Richer au XIIème siècle, pour passer ensuite sous l’autorité de l’Abbaye de la Sainte Trinité de Beaulieu les Loches. Un prieuré lui fut ajouté, il fut cédé un peu plus tard à l’Abbaye de Beaulieu. La cure (direction spirituelle de la paroisse de Dierre) était alors alternativement sous le contrôle des abbés de Saint Julien et de Beaulieu. Lors de divers travaux, de nombreux squelettes furent mis à jour, notamment aux abords de l’église, sous la route qui traverse le bourg ; les prieurs et les notables étant eux inhumés sous l’autel ou dans l’allée centrale

L’église est construite sur les parements courant en maçonnerie de calcaire hourdée à la chaux et au sable ocre rouge, sur des parties ouvragées en pierre calcaire blanche appareillée pour les portails, voûtes, arcades, piliers, remplages, rampants, baies, contreforts, clocher et chevet.

Elle supporte une cloche en bronze de 300 kilos, bénie et baptisée le 30 septembre 1888 du nom d’Anne-Eglantine, sa marraine fut Eglantine Coqueray. Dans le mobilier de l’église, on remarque une très belle piéta du XVème siècle, des fragments de vitraux du XVIème siècle, ainsi qu’un baptistère en pierre. En 1963, Dierre a reçu la visite de la Reine-Mère d’Angleterre.

Le manoir privé de Coquiau (XVIe siècle) était partiellement en ruines depuis 1824 il vient d’être rénové par un particulier. Coquiau était un fief relevant du château d’Amboise. Ce manoir possède un pigeonnier hexagonal dont les murs en moellons sont soutenus aux angles par un chaînage en pierres. Le toit à six pans est recouvert de tuiles plates. Il n’a qu’un seul trou d’envol.

Le château privé de Vauhardy a été bâti aux XVIII e et XIXe siècles.

Il existe deux lavoirs à Dierre celui de la rue de la Roche et celui de la rue du Prieuré.

Le logis privé de la Secréterie (XVIIe Siècle) appelé autrefois l’Appeterie : ancien logis seigneurial dont il reste quelques vestiges après sa reconstruction de 1860. C’était un fief relevant d’Amboise.

Contacts

Adresse : 
1400 rue de Chenonceaux
37150 Dierre

Téléphone : 
02.47.57.93.86

Fax : 
02.47.23.91.74

E-mail : 
mairie@dierre37.fr







Epeigné-les-Bois

La mairie et ses services

Maire : Jean Candiago

Site internet : www.epeignelesbois.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

les matins de 9h à 12h
les lundis, mardis, jeudis et vendredis après midi de 14h à 16h

Présentation de la commune

Population : 440 habitants

Nom des habitant·e·s : Epeignois, Epeignoises

En retrait de la vallée du Cher, la commune est coupée en deux du Sud au Nord par le ruisseau de Chézelles, affluent gauche du Cher. Le bourg est groupé autour de l’église sur la rive gauche du ruisseau, sur une pente douce. Lové dans un site vallonné, Epeigné constitue une halte verdoyante sur la route des châteaux de Montpoupon (4 km) et Chenonceau (9 km).

En contrebas de l’église, un escalier donne accès à un souterrain avec une fontaine à laquelle on attribue des vertus guérisseuses. Celle-ci se trouve sous le chevet de l’église.

Au pied du bourg, inséré dans un écrin très boisé, un plan d’eau constitue un pôle touristique intéressant dans la vallée du ruisseau de la Chézelles. Cet ensemble constitue un cadre paysager remarquable.

Contacts

Adresse : 
2 rue Saint Vincent
37150 Epeigne-les-Bois

Téléphone : 
02 47 23 92 88

E-mail : 
mairie@epeignelesbois.fr













Francueil

La mairie et ses services

Maire : Pierre Ehlinger

Site internet : www.francueil.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Lundi au vendredi 14h – 17h30

Présentation de la commune

Population : 1419 habitants

Nom des habitant·e·s : Francueillois, francueilloise

Le site de Francueil était habité à partir de 500 avant Jésus Christ, époque de l’installation des Turones dans la région.

Le nom de Francueil

  • Parochia de Francolio : 1105, 1150.
  • Francueil : 1230 (chartes do l’abbaye de Villeloin).
  • Terra de Francullio : 1240 (Bibi. de Tours, fonds Salmon, titres d’Amboise).
  • Francolium : 1200 (Cartuaire de l’archevêché de Tours.)

 Une voie romaine passait à Francueil.

Vers 1274, le fief de Francueil fut donné aux religieux de Montoussan, par un chevalier nommé Guillaume Marques. Mais, par la suite, il devint une dépendance de Chenonceau, auquel il fut réuni sous les mêmes « foi et hommage ».
Louise- Marie-Madeleine Fontaine, veuve de Claude Dupin, dame de Francueil et de Clemenceau, comparut, par fondé de pouvoir, en 1789, à l’assemblée électorale de la noblesse de Touraine.

Avant la Révolution, Francueil était dans le ressort de l’élection d’Amboise et faisait partie du doyenné de Bléré et du grand-archidiaconé. En 1793, il dépendait du district d’Amboise.

En 1864, M. l’abbé Chevalier a découvert, près du chemin qui conduit au Port-Olivier, deux fours à chaux de l’époque gallo-romaine.

 Patrimoine

L’Église Saint-Thibault

L’église, dédiée à saint Thibault, était placée autrefois sous le vocable de Notre-Dame. Elle date de trois époques. La plus grande partie de la nef appartient au XIème siècle; le choeur et le sanctuaire au XVIème siècle ; l’ancienne chapelle seigneuriale est du XVème siècle. La nef et le choeur ont été réparés en. 1726. Cette église appartenait, au milieu au XIIIème siècle, à l’abbaye de Villeloin, qui fut confirmée dans cette possession par une charte d’Angebault, archevêque de Tours (1150). On la voit figurer encore, comme propriété de ce monastère dans une bulle du pape Adrien IV, de l’an 1156.

Le Puits : Près de l’ancien presbytère, un puits du 19ème siècle est muni d’une roue en bois pour remonter les seaux d’eau. C’est un « puits-chapelle » typique de cette région. Une voûte de pierre en plein cintre permet de réduire l’évaporation et d’éviter que l’eau soit souillée par les feuilles mortes.

Le Château des Ouldes du XIème siècle. Victime d’un incendie, le château fut remanié au XVIème siècle.

Le Moulin Neuf ancien moulin du XIXème siècle dans un parc paysager

Le Manoir de Cambalu début du XVIIème siècle

L’ancien Presbytère à côté de l’Eglise est du XVème siècle

Contacts

Adresse : 
Rue des écoles
37150 Francueil

Téléphone : 
02 47 23 91 43

E-mail : 
mairie-francueil@francueil.fr













La Croix-en-Touraine

La mairie et ses services

Maire : Michèle Gasnier

Site internet : www.lacroixentouraine.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Du lundi au jeudi : 8 h à 12 h 30
Vendredi : de 8h à 12h30 et de 13h30 à 17h30

Présentation de la commune

Population : 2 469 habitants

Nom des habitant·e·s : Crucifixiens – Crucifixiennes

Situé à l’origine autour de son église, le village de La Croix-en-Touraine aurait été fondé lors de la colonisation romaine par un certain Quintinus qui lui aurait donné son nom Quintini. Au fil du temps, le nom du village évolue sous différentes formes : Saint Quintinus ante Blireium en 1035, Crux de Blereio en 1250, Sanctus Quintinus de Pratis (Saint-Quentin-des-Prés) en 1290, La Croix-de-Bléré (XIVème siècle), La Croix depuis le XVIIIème s., Pont-de-Bléré (nom révolutionnaire) et enfin La Croix-en-Touraine depuis 1938.

La situation de carrefour, entre l’ancienne voie romaine Tours-Bourges et l’axe secondaire Amboise-Loches, est sans doute à l’origine du terme « croix ». Une croix a aussi pu être érigée pour marquer la présence de l’église.

 Au XIIème siècle, se dressait dans le bourg une tour à feu qui permettait de signaler, à la population et aux villages alentours, que l’ennemi approchait. Le plus ancien seigneur connu est Guillaume de Sainte-Maure au XIIème s. Bléré bénéficiait de la protection de La Croix où se dressait un château fort, détruit vers l’an 1325. La seigneurie appartient ensuite à la maison de Maillé (XIVème s.), puis à Pierre Bérard et ses descendants dès 1446 et jusqu’en 1678. Etienne de Guillerault, seigneur de Bléré, achète alors la terre de La Croix-de-Bléré au prix de 30 100 livres.

 Enfin, la seigneurie passe, par héritage, à la famille Lorin à partir de 1720. Jean Lorin, avocat au Parlement de Tours, a été maire et bailli de Bléré de 1692 à 1708. Son petit-fils, Etienne Jean-Baptiste Lorin (1762-1816) a été administrateur du département, membre du Directoire à partir de 1790 et a contribué au développement du vignoble. Ce dernier repose dans le cimetière et on peut lire sur sa tombe : « Regretté de ses amis et du peuple ». En son honneur, la municipalité a donné son nom à la salle des fêtes et s’est inspirée des armes de sa famille pour créer le blason communal.

Contacts

Adresse : 
30 rue Nationale
37150 La Croix-en-Touraine

Téléphone : 
02 47 23 64 64

E-mail : 
contact@lacroixentouraine.fr



















Luzillé

La mairie et ses services

Maire : Anne Marquenet Jouzeau

Site internet : www.luzille.fr/

Jours et horaires d’ouverture : 

Lundi-mardi-jeudi-vendredi de 14 h à 17 h

Présentation de la commune

Population : 984 habitants

Nom des habitant·e·s : Luzillois, Luzilloise

PRESENTATION DE LA COMMUNE 

Le patrimoine naturel de Luzillé est important et diversifié puisque qu’un site du réseau Natura 2000 et une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique occupent une partie du territoire.  

Le polissoir de la Pierre Saint-Martin, classé monument historique, est l’élément majeur du patrimoine luzillois, en raison de sa valeur archéologique et des traditions liées à Saint-Martin qu’il véhicule.

Ce polissoir atteste de la présence de populations néolithiques et de leur sédentarisation à Luzillé 5000 à 2500 ans avant notre ère.

Le nom de Luzillé apparaît dès le VIème siècle sous la plume de Grégoire de Tours Luciliacus. Luciliacum est attesté dès le moyen âge et signifie le domaine de Lucilius.

Eglise Sainte Luce

Placée sous le vocable de Sainte Luce, vierge et martyr du IIIème siècle, son nom évoque la lumière (latin lux, lucis). Il est très possible que la dédicace de l’église à sainte Luce ait été choisie pour rappeler le toponyme.

Les textes relatent la présence au VIème siècle d’une première église en bois. Cet édifice a disparu et a été remplacé au XIIème siècle par l’église actuelle de pur style roman. Remaniée au 15è siècle par l’ajout d’un collatéral, elle a été restaurée à deux reprises au XVIIIème siècle.

A l’intérieur, pénètre une très belle lumière provenant notamment des trois vitraux réalisés au début du XIXème siècle par l’artiste Lux Fournier, maître-verrier à Tours.

Ce n’est qu’à Sainte-Luce que l’on peut admirer une œuvre d’ébénisterie unique en son genre, un meuble construit d’un seul tenant alliant les deux fonctions, de chaire à prêcher et de confessionnal. De forme circulaire dans sa partie basse, il est plaqué de loupe de noyer ce qui lui confère une certaine préciosité.

Le cénotaphe :

La commune de Luzillé, comme en attestent les délibérations de 1922, donne sa préférence à un artiste pour réaliser le monument aux morts de la commune. C’est le sculpteur Médéric Bruno qui est choisi. Il est deuxième médaille du prix de Rome ce qui en fait un artiste reconnu par ses pairs et il enseigne à l’école des Beaux-Arts de Tours.

Le monument est réalisé en pierre de Tervoux, une pierre dure de calcaire originaire du Poitou. Sur un socle cubique porté par deux degrés se dresse une statue de Marianne debout.

Cette allégorie féminine qui représente « La France », vêtue à l’antique et coiffée d’un bonnet phrygien, se montre à notre regard dans une posture tout à la fois digne et modeste. Elle est travaillée dans un style qui se distingue du classicisme par sa sobriété et ses lignes épurées, l’œuvre s’inscrit pour partie dans le style « Art déco » en vogue dans les années 20.

Sur la façade arrière de son socle se trouve une sculpture en bas-relief à l’effigie d’un poilu. Le casque qu’il porte est symbole d’invulnérabilité, de puissance et d’invisibilité. Une dédicace est gravée à l’avant sur la terrasse : la République reconnaissante.

Le monument honore 51 luzillois morts pour la France durant la Première Guerre mondiale et 4 luzillois morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le cheval « EQUINOX », sculpture contemporaine en acier réalisée par François Villain et Jean-Claude Laroche en 2006 pour célébrer la fête du cheval qui se déroulait chaque année à Luzillé. Le cheval s’expose fièrement à la vue des visiteurs, entouré d’une plaine arborée et fleurie où des bancs et tables permettent de pique-niquer en toute quiétude.

Randonnées pédestres : deux circuits sont proposés au départ de la place de la Vallée des Moreaux (9 km et 11 km) mais l’étendue de la commune et ses multiples hameaux offrent une diversité de découvertes pour les marcheurs.

Contacts

Adresse : 
4 et 6 rue de la Mairie
37150 Luzillé

Téléphone : 
02 47 57 84 19

E-mail : 
mairie@luzille.fr















Saint-Martin-le-Beau

La mairie et ses services

Maire : Alain Schnel

Site internet : www.saintmartinlebeau.fr

Jours et horaires d’ouverture : 

Du lundi au samedi de 9h à 12h

Présentation de la commune

Population : 3300 habitants

Nom des habitant·e·s : Saint-Martinoises et Saint-Martinois

Au cœur du département d’Indre-et-Loire, dans le jardin de la France qu’est la Touraine, Saint-Martin-le-Beau se déploie entre la forêt d’Amboise et le Cher. La commune se niche dans les faibles pentes et la vallée de l’affluent du fleuve royal. Le centre bourg et le chapelet de hameaux semblent en épouser le cours. Les Vallées « des Ruisseaux de Battereau et du Filet, ses petits étangs  » marquent le territoire. Cette géographie particulière est aussi le reflet de l’histoire du village devenu « petite ville de demain ».

Entre Amboise, Montlouis et Tours, la commune est rattachée au Canton de Bléré et est membre de la Communauté de Communes « Autour de Chenonceaux/Communauté de communes Bléré-Val de Cher ». À proximité de l’aire urbaine de Tours, au croisement de plusieurs pôles économiques et touristiques. Saint-Martin-le-Beau est une synthèse de la tradition et du contemporain, du rural et de l’urbain. Ce sont près de 3 300 Saint-martinoises et Saint-Martinois qui y vivent.

Les paysages sont marqués par l’activité viticole. La vigne, ses coutumes et ceux qui en vivent sont une part majeure du patrimoine de Saint-Martin-le-Beau. La commune possède également un riche patrimoine historique de pierre et de traditions. Le dynamisme communal est aussi celui des associations et des clubs qui structurent le vivre ensemble. Écoles, gymnase, terrains de sport, city-stade, services, commerçants, médecins, Saint-Martin-le-Beau possède de nombreux atouts.

Contacts

Adresse : 
1 Place Marcel Habert
37270 Saint-Martin-le-Beau

Téléphone : 
02 47 50 67 26

E-mail : 
accueil@stmartinlebeau.fr









Sublaines

La mairie et ses services

Maire : Jérôme Jarry

Jours et horaires d’ouverture : 

Mardi et vendredi de 14h à 17h.

Présentation de la commune

Population : 188 habitants

Nom des habitant·e·s : Sublainoise et Sublainois

Patrimoine

  • Pierre du pas de Saint, pierre étant réputée pour avoir les empreintes des pas de Saint Martin, son bâton est les pieds de son cheval.
  • Eglise Saint Martin du début du XII° siècle.
  • Deux fermes (Cours et Hommes) avec leur tour rectangulaire du XVI° siècle.
  • Zone Natura 2000 La Champeigne, zone de protection des oiseaux (outarde canepetière)

Histoire

L’histoire des Sublaines a plus de 5500 anss, elle comporte trois principaux sites archéologiques.

  • Site du Grand Ormeau
  • Site de Villaine
  • Sites des Danges

Concernant les loisirs et le tourisme, malheureusement Sublaines ne possède pas l’un de ces services.

A noter la qualité des informations de l’article Sublaines sur wikipedia

Contacts

Adresse : 
2 rue du 8 mai 1945
37310 Sublaines

Téléphone : 
02 47 57 85 11

E-mail : 
mairie@sublaines.fr